Montalbán de Córdoba
Commune située au sud de la province, au beau milieu d"un paysage de champagne aux terres fertiles plantées d"oliviers, de céréales et de vignes parmi lesquelles, de loin en loin, se dresse une propriété rurale ou un hameau.
Le village, situé sur une petite colline, ressort dans ce paysage polychrome sans pour autant altérer la tranquillité et le calme que respire cet environnement. Il convient de souligner l"amabilité de ses habitants, l"Eglise d"El Calvario et ses fameux melons.
Histoire
HistoireSon nom, dont les racines d"origine latine remontent à l"époque de domination castillane, se réfère précisément à l"emplacement du village et à la couleur de sa terre: Montalbán ou "mont blanc".
Le territoire de Montalbán constituait, à l"époque musulmane, la limite entre les coras (territoires) de Cordoue et Cabra. Ses terres furent définitivement conquises par les troupes de Ferdinand III lors de son second séjour à Cordoue: de février 1240 à mars 1241.
Au cours du Bas Moyen-àge, Montalbán fit partie du patrimoine de diverses familles nobles cordouanes. Don Pedro Fernández de Córdoba, seigneur d"Aguilar et marquis de Priego, l"acheta au tout début du XVIe siècle. Ainsi, de même que d"autres villages de la Campagne de Cordoue, Montalbán faisait partie du domaine seigneurial des marquis de Priego.
Eloy Vaquero Cantillo, écrivain et homme politique.
Enrique Moreno Rodríguez, sculpteur.
Antonio Marquéz Gálvez, militaire.
Carlos Tomás de Guzmán el Bueno, historien.
Carlos Castellano Gómez, compositeur.
José Pérez de la Lastra y Rodríguez, écrivain.
Ildefonso José Nieto, prêtre et confesseur de la reine Isabelle II.
Frère Sebastián de Jesús (en cours de béatification).
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